Archives de Catégorie: 2010

Films sortis en 2010

Le Portrait de Dorian Gray

dgDate de sortie : 1er septembre 2010 (DVD – France)

Réalisé par : Oliver Parker

Cotation : 7/10 – Bon film.

Synopsis : C’est l’époque victorienne. Le jeune Dorian Gray, bourgeois londonien élégant et très beau, accepte d’être le modèle du célèbre peintre Basil Hallward. Ce portait est la suite de la rencontre de Dorian avec Lord Henry Wotton, un ami qui lui a présenté Basil. Il s’avère que le portrait est un des plus beaux tableaux jamais peints et Dorian affirme qu’il donnerait tout, y compris son âme, pour que le portrait vieillisse à sa place, et que lui-même garde à jamais sa jeunesse et sa beauté. Ce qu’il regrettera amèrement…

Avis : Adaptation réussie du roman d’Oscar Wilde, dans une ambiance de thriller fantastique. N’ayant jamais lu le livre, je n’ai pas été déçu par le film, j’avoue avoir regardé le DVD pour ne pas avoir à lire, par paresse ( ! ) étant donné la bonne critique du film. Il raconte bien cette histoire sombre et fantastique du jeune homme obsédé par la beauté éternelle. On a beau dire, mais c’est dans les vieilles casseroles que l’on fait les meilleures soupes, le sujet du pacte avec le diable est utilisé depuis la Grèce antique (et même avant ?) dans beaucoup d’oeuvres culturelles, et cela fonctionne toujours bien. Dans des décors de l’époque victorienne superbement mis en valeur, les acteurs aux performances irréprochables excellent dans le style very british que j’apprécie beaucoup, vraiment je me suis régalé devant ce film. Attention aux âmes sensibles cependant, certains passages font sursauter, et la fin est assez « hard » à regarder !

A noter : L’oeuvre d’Oscar Wilde avait déjà fait l’objet d’une adaptation en 1945 par Albert Lewin. Le film de 2009 n’est jamais sorti au cinéma en France ni en Belgique…Heureusement que les DVD nous permettent d’avoir accès aux réalisations d’Outre-Manche !

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Classé dans 2010, 7/10, Fantastique, Thriller / Suspense

Nanny McPhee et le Big Bang (Nanny McPhee and the Big Bang)

nanny2Date de sortie : 7 avril 2010

Réalisé par : Susanna White

Cotation : 7/10 – Bon film.

Synopsis : Mme Green est au bout du rouleau ! Ses trois enfants ne cessent de se chamailler, son mari est parti à la guerre, son beau-frère la pousse à lui vendre la ferme familiale et sa patronne a un comportement de plus en plus étrange… Et comme si cela ne suffisait pas, elle voit débarquer ses deux insupportables neveux de Londres, tandis que le maire du village la prévient que des bombes pourraient bien leur tomber dessus à tout moment ! Mme Green ne le sait pas encore, mais la personne dont elle a besoin n’est autre que Nanny McPhee…

Source : Allociné

Avis : La nounou super moche revient, cette fois dans le temps, pendant la seconde guerre mondiale. Toujours menée par une Emma Thompson entourée d’acteurs britanniques excellents, le deuxième volet adapté sur grand écran manque un peu de rythme, s’essouffle légèrement en comparaison au premier film, mais reste un bon divertissement, surtout pour le jeune public qui appréciera les animaux.

A noter : Asa Butterfield (« Hugo Cabret« ) est un jeune acteur anglais très prometteur, c’est un peu lui le vrai personnage principal de l’histoire.

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Classé dans 2010, 7/10, Comédie, Fantastique

Le Royaume de Ga’Hoole – la légende des gardiens (Legend of the Guardians: The Owls of Ga’Hoole)

gahooleDate de sortie : 13 octobre 2010

Réalisé par : Zack Snyder

Cotation :7/10 – Bon film.

Synopsis : Dans le royaume des oiseaux, et plus particulièrement des hiboux et chouettes, une légende raconte que des Gardiens, des oiseaux courageux, ont défendu le royaume de Ga’Hoole où se trouve le Grand Arbre. Soren et Kludd, deux jeunes frères de la famille des chouettes effraie, vont partir à l’aventure sur les traces de ces gardiens.

Avis : Film d’animation destiné aux enfants, il est un peu comparé aux « Seigneurs des Anneaux », version édulcorée pour têtes blondes. Adapté d’un roman, j’ai trouvé l’adaptation en 3D plutôt réussie, prônant les valeurs essentielles à inculquer aux enfants au travers d’un scénario assez original.

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Classé dans 2010, 7/10, Animation / Dessin Animé, Aventure

Prince of Persia : les sables du temps (Prince of Persia : The Sands of Time)

popDate de sortie : 19 mai 2010

Réalisé par : Mike Newell

Cotation : 8/10 – Très bon film, à voir.

Synopsis : Dastan, un jeune prince de la Perse du VIe siècle va devoir unir ses forces à celles de la belle et courageuse princesse Tamina pour empêcher un redoutable noble de s’emparer de la dague qui permet de libérer les Sables du Temps, un don des dieux capable d’inverser le cours du temps, ce qui lui permettrait de régner en maître absolu sur le monde.

Avis : Ayant joué aux jeux vidéos « Prince of Persia » il y a quelques années, je ne m’attendais pas du tout à ce film qui, bien qu’il en soit adapté, ne reflète pas du tout le scénario des jeux. Certes cela parle d’un prince de Perse dans l’ancien temps, avec de la magie, des complots, de l’aventure,… et l’adaptation est bien réussie, je dois dire que j’ai bien aimé ce film, beaucoup de nouveautés par rapport au support vidéoludique. Le beau Jake en héros exhibe sa musculature, en plus du scénario original et des effets spéciaux réussis.

Les costumes et les décors ont été soignés. Ben Kingsley dans le rôle du méchant Nizam est aussi un point positif.

A noter : Durant le tournage, une personne a été engagée pour jouer à Prince of Persia sur console !

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Classé dans 2010, 8/10, Action, Fantastique

Raiponce (Tangled)

raiponceDate de sortie : 1er décembre 2010

Réalisé par : Nathan Greno, Byron Howard

Cotation : 8/10 – Bon film.

Synopsis : Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d’émotion, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé, et une drôle de bande de malfaiteurs.

Avis : Qu’il est bon de pouvoir se dire qu’à chaque fin d’année, Disney reviendra avec un film d’animation dont il a le secret. Qu’il est plaisant de ressentir un doux frisson en mode « Il était une fois » à l’approche de Noël. Avec La Princesse et la grenouille, le public s’était laissé aller aux rythmes frénétiques de la Nouvelle-Orléans pour un retour salvateur aux dessins traditionnels. C’est cette fois en version numérique et en 3D que Raiponce scelle définitivement la renaissance de la firme avec un conte musical irrésistible, plein de romance et d’aventure.

Raiponce n’est pas avare en course-poursuites et les scènes d’action sont traversées par la même bouffée d’air frais ressentie dans Volt, star malgré lui. On la doit principalement à Byron Howard, réalisateur de ce dernier et visiblement très à l’aise quand il s’agit de voltiger au-dessus d’un barrage d’eau , de sauter d’une tour ou de s’échapper d’un château. Si la 3D fonctionne une fois de plus comme un gadget (exceptée lors de la sublime scène des lampions), le montage insuffle suffisamment de vertige et de puissance à l’ensemble pour que le public virevolte aux côtés des héros. Les décors terminent d’émerveiller les sens et les animateurs ont su garder une part de la noirceur du conte des frères Grimm en y apposant une touche personnelle bienvenue, digne héritière des plus belles directions artistiques.

Par ailleurs, il manque au film d’animation des thèmes musicaux forts et des mélodies entrainantes, ceux qui continuent de voyager dans les pensées bien après la première vision. Si J’ai un rêve ou Je veux y croire fonctionnent à merveille, le compositeur Alan Menken et le parolier Glenn Slater ont fait mieux, notamment pour La Petite sirène. La rythmique de Raiponce est basée le plus souvent sur du parlé/chanté qui réussit très bien aux transitions narratives sans avoir le caractère suffisant pour nous emporter émotionnellement. Heureusement, tous les personnages sont d’une vitalité exemplaire.

Disney a un don inné pour caractériser des protagonistes secondaires de grande classe et introduire des relations de type « Je t’aime moi non plus » . Entre Pascal le caméléon bodyguard (nouvelle coqueluche des enfants) et Maximus le cheval justicier, le bestiaire des amis de Mickey s’enrichit de deux trouvailles aussi amusantes que sympathiques. De la méchante Mère Gothel aux bandits du Snuggly Ducking, la galerie de nouvelles gueules offrent des séquences aussi terrifiantes qu’hilarantes. Quant à l’histoire entre le séducteur voleur et la jeune fille en fleur, elle se révèle passionnante et attendrissante de bout en bout. Flynn Rider et Raiponce rentreront sans problème au panthéon des couples les plus sexy et romantiques de l’univers Disney.Raiponce puise son élégance dans les classiques des films d’animation en revisitant énergiquement un grandiose patrimoine.

Critique écrite par Nicolas SCHIAVI 

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Classé dans 2010, 8/10, Animation / Dessin Animé, Musical

Alice au Pays des Merveilles (Alice in Wonderland)

aliceDate de sortie : 10 mars 2010

Réalisé par : Tim Burton

Cotation : 7/10 – Bon film.

Synopsis : Alice, une jeune fille de 19 ans sans prétention, est fiancée au fils peu séduisant d’un lord anglais. A sa fête de fiançailles, elle échappe à la foule avant la fin de la cérémonie du mariage et tombe dans un trou du jardin en suivant un lapin blanc. Arrivée dans un lieu étrange et surréaliste appelé « Underland, » elle se retrouve dans un monde qui ressemble aux cauchemars qu’elle avait étant enfant, remplis d’animaux parlants, des reines et des chevaliers. Alice se rend compte qu’elle est là pour une raison – vaincre l’horrible Jabberwocky et restaurer la reine légitime sur son trône.

Avis : Une adaptation du célèbre conte de Lewis Carroll, à la sauce Tim Burton. Fort du tapage médiatique et de la nouveauté de la vague 3D, le film a eu un grand succès, amplement mérité. Décors fantastiques, personnages atypiques, scénario bien trouvé (adapté de « Alice aux pays des merveilles » et « De l’autre côté du miroir »). Ayant été le voir en 3D en avant-première, j’ai bien aimé le film, étant un fan de Tim Burton et de Johnny Depp. De tous les personnages, c’est lui le plus haut en couleurs, le plus drôle aussi. La Reine Rouge est aussi odieuse et méchante que l’on s’y attend. Par contre Alice ne dégage aucun charisme, et la 3D n’apporte pas vraiment grand-chose au film, vu qu’elle a été rajoutée après (le film n’était pas prévu pour cela). J’aurais aussi voulu en voir plus de l’univers « Underland », j’aime en avoir plein les yeux avec les films de Tim Burton, et j’en redemande…!

A noter : L’histoire d’Alice a fait l’objet de nombreuses adaptations artistiques, notamment au cinéma (8 adaptations entre 1903 et 2010), à la télévision (3 téléfilms, dont un réalisé en 2009 par Nick Willing diffusée sur France 4 il y a quelques temps), une série d’animation, des bandes dessinées, des jeux vidéos,…

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Classé dans 2010, 7/10, Aventure, Fantastique

The Social Network

snDate de sortie : 27 octobre 2010

Réalisé par : David Fincher

Cotation : 8/10 – Très bon film, à voir.

Synopsis : Une soirée bien arrosée d’octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l’Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l’utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l’information se diffuse à la vitesse de l’éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d’avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C’est pourtant à ce moment qu’est né ce qui deviendra Facebook. Peu après, Mark crée thefacebook.com, qui se répand comme une trainée de poudre d’un écran à l’autre d’abord à Harvard, puis s’ouvre aux principales universités des États-Unis, de l’Ivy League à Silicon Valley, avant de gagner le monde entier…

Cette invention révolutionnaire engendre des conflits passionnés. Quels ont été les faits exacts, qui peut réellement revendiquer la paternité du réseau social planétaire ? Ce qui s’est imposé comme l’une des idées phares du XXIe siècle va faire exploser l’amitié de ses pionniers et déclencher des affrontements aux enjeux colossaux… (Source : Allociné)

Avis :  Après L’étrange histoire de Benjamin Button, David Fincher adapte librement l’histoire du créateur de Facebook, avec un certain réalisme et l’aide du livre de Ben Mezrich « La revanche d’un solitaire ». Mark Zuckerberg lui-même, après avoir vu ce film, a précisé qu’il n’a pas ce caractère là, et certaines scènes ont été remaniées… L’ironie est telle que celui qui a créé un réseau d’amis a perdu les siens dans la course à l’argent et au succès…Bon film, avec les jeune Jesse Eisenberg, un acteur qui monte, aux côtés d’Andrew Garfield (Spiderman) et de Justin Timberlake, qui n’est pas plus mauvais acteur que chanteur.

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Classé dans 2010, 8/10, Biographique / Biopic, Drame, Historique

I Love You Phillip Morris

ilypmDate de sortie : 10 février 2010

Réalisé par : Glenn Ficarra, John Requa

Cotation : 7/10 – Bon film.

Synopsis : L’histoire vraie d’un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l’homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu’où peut-on aller par amour? Très loin si l’on en croit l’histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l’évasion rattrapé par son romantisme. (Source : Allociné)

Avis : Enorme buzz autour de ce premier long-métrage d’un duo de scénaristes. Un moment privé de sortie en salles aux Etats-Unis, I love you Philip Morris choque plus par certains de ses propos que pour sa vision de l’homosexualité, extrêmement caricaturale. Steven comme Philip sont des gays très typés (l’un est plus masculin et sûr de lui, l’autre plus féminin et sensible). Mais ce côté cliché est incorporé dans un univers très coloré, décalé, qui fait que l’on accepte volontiers cette vision réductrice de l’homosexualité. Dès les premières minutes l’excellent scénario fait son effet : des gags et répliques extrêmement efficaces et surprenants, le principe que l’on peut rire de tout (et donc aller très loin), de l’audace.

Alors que la réalisation s’amuse à être plus ou moins explicitement phallique (des objets placés pour dessiner les formes du sexe masculin ou des plans composé pour faire ressortir ce fascinant phallus), la comédie prend le dessus tout en essayant de se muer de temps en temps en vrai film romantique susceptible d’arracher quelques larmes aux yeux. Brillant de bout en bout dans sa première partie, le film perd un peu de sa force comique dans sa seconde moitié. Mais le niveau reste très haut. Jim Carrey et Ewan Mc Gregor font de leurs caricatures homos des personnages amusants mais surtout crédibles. On croit directement à cette histoire d’amour, impossible de ne pas s’attacher à ces deux hommes qui font la pair.

A la fois romance gay décomplexée et souvent kitsch, portrait d’un arnaqueur fantasque, critique de la société américaine…I Love you Philip Morris ravira les amateurs de comédie comme les autres de par l’efficacité de son écriture garantissant de nombreux fous rires. Rares sont les comédies qui parviennent à obtenir ce résultat. Adaptée d’une « histoire vraie », ce long-métrage phallique et parfois féroce finit bel et bien par être jubilatoire…et étonnamment émouvant. (Source : Popandfilms)

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Classé dans 2010, 7/10, Comédie, Drame, Romance / film d'amour

La saga Harry Potter

Harry-Potter-Wallpaper-harry-potter-24478545-1280-800Date de sortie : entre le 21 novembre 2001 (premier film) et le 13 juillet 2011 (dernier film)

Réalisé par : Chris Columbus, Alfonso Cuarón,  Mike Newell, David Yates

Cotation : 8/10 – Très bonne saga, à recommander.

Synopsis : Harry Potter, un jeune orphelin, est élevé par son oncle Vernon et sa tante Pétunia qui le détestent. Alors qu’il était haut comme trois pommes, ces derniers lui ont raconté que ses parents étaient morts dans un accident de voiture. Le jour de son onzième anniversaire, Harry reçoit la visite inattendue d’un homme gigantesque se nommant Rubeus Hagrid. Celui-ci lui révèle qu’il est en fait le fils de deux puissants magiciens et qu’il possède lui aussi d’extraordinaires pouvoirs. C’est avec joie que le garçon accepte de suivre des cours à Poudlard, la célèbre école de sorcellerie. Il a enfin la chance de se faire des amis. Blâmé par le professeur Severus Rogue qui lui enseigne les potions et protégé par Albus Dumbledore, le directeur de l’établissement, Harry va tenter de s’habituer à sa nouvelle vie de sorcier.

Avis : Quatre réalisateurs différents pour huit films d’une saga épique. Dans les deux premiers épisodes, l’ambiance est agréable, chaleureuse, lumineuse, les films sont familiaux, tous publics, grâce à C. Columbus (« Maman j’ai raté l’avion » – 1990, « Madame Doubtfire » – 1993, « L’Homme bicentennaire » – 1999).
Avec A. Cuarón (« Y tu mamá también » – 2001, « Paris je t’aime » – 2006), le ton devient plus sérieux, au fur et à mesure que les héros grandissent et gagnent en maturité, la réalisation suit la même voie. M. Newell (« Donnie Brasco » – 1997) plonge les héros dans le danger et n’hésite pas à montrer des scènes plus rudes, réservées aux plus grands. Et puis D. Yates (réalisateur de séries TV telles que « The Bill« , entre autres) s’adapte à l’histoire de plus en plus sombre, en tournant les derniers épisodes de manière plus sérieuse, plus adulte. Les trois styles sont clairement différents mais correspondent à l’ambiance changeante de l’histoire.

Le côté fantastique et merveilleux du début de la saga s’estompe peu à peu pour laisser place à l’action / aventure / suspense, tout en respectant le plus fidèlement possible les romans de J. K. Rowling dont est tirée la saga. D’ailleurs l’écrivain elle-m$eme a contribué à tous les films. Le petit point noir étant que dans les films (qui durent en moyenne deux heures au moins), on manque de temps pour inclure tous les éléments et détails du roman. Certains lecteurs fans d’Harry Potter auront probablement été déçus de ne pas avoir vu certains passages transposés à l’écran. Pour ma part, je donne un 8/10, ayant lu chaque roman préalablement avant d’aller voir son adaptation, et ayant toujours bien apprécié le résultat. A recommander aux amateurs des livres et aux passionnés de fantastique.

Les liens ci-dessous mènent aux différents films. Les titres des films en français sont à côté des liens Allociné, les titre en anglais à côté des liens IMDb.

Lien Allociné (Harry Potter à l’école des sorciers) – 2001
Lien Allociné (Harry Potter et la chambre des secrets) – 2002
Lien Allociné (Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban) – 2004
Lien Allociné (Harry Potter et la Coupe de Feu) – 2005
Lien Allociné (Harry Potter et l’Ordre du Phénix) – 2007
Lien Allociné (Harry Potter et le Prince de sang mêlé) – 2009
Lien Allociné (Harry Potter et les reliques de la mort – partie 1) – 2010
Lien Allociné (Harry Potter et les reliques de la mort – partie 2) – 2011

Lien IMDb (Harry Potter and the Sorcerer’s Stone / Harry Potter and the Philosophe’s Stone) – 2001
Lien IMDb (Harry Potter and the Chamber of Secrets) – 2002
Lien IMDb (Harry Potter and the Prisoner of Azkaban) – 2004
Lien IMDb (Harry Potter and the Goblet of Fire) – 2005
Lien IMDb (Harry Potter and the Order of the Phoenix) – 2007
Lien IMDb (Harry Potter and the Half-Blood Prince) – 2009
Lien IMDb (Harry Potter and the Deathly Hallows: Part 1) – 2010
Lien IMDb (Harry Potter and the Deathly Hallows: Part 2) – 2011

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Classé dans 2001, 2002, 2004, 2007, 2009, 2010, 2011, 8/10, Action, Aventure, Fantastique, Non classé, Thriller / Suspense

La saga Twilight

The_Twilight_Saga-_New_Moon_1195Date de sortie : entre le 26 novembre 2008 (premier film) et le 14 novembre 2012 (dernier film)

Réalisé par : Catherine Hardwicke, Chris Weitz, David Slade, Bill Condon

Cotation : 6/10 – Saga correcte.

Synopsis : A dix-sept ans, Isabella Swan (« Bella ») déménage à Forks, petite ville de la côte près de Washington, pour vivre avec son père, Charlie, après que sa mère se soit remariée avec un joueur de baseball. Elle se lie rapidement d’amitié avec de nombreux étudiants de sa nouvelle école, mais elle est intrigué par les frères et sœurs Cullen, qui se montrent mystérieux et distants.

Avis : Les premiers chapitres de la grande saga, adaptée des romans de Stephanie Meyer est plutôt bon. Le scénario est classique, une humaine tombe amoureuse d’un vampire, elle veut le devenir à son tour… Cependant le film est plutôt bien fait, les lumières, mises en scène et décors sont bons, les acteurs assez convaincants, malgré le fait que personnellement, je trouve que Robert Pattinson a l’air d’un chien battu tout le long du film ; et malgré aussi le jeu presque identique de K. Stewart pour les différentes émotions comme la tristesse, la joie, la colère…ce qui a d’ailleurs valu pas mal de railleries sur internet.
Les effets spéciaux assez réussis. Enorme succès au box-office, principalement auprès des adolescentes amatrices d’histoire d’amour, ces films ont relancé la « mode » des vampires sur petit et grand écran. Il y en avait déjà eu au cinéma avec par exemple « Entretien avec un Vampire » (avec Brad Pitt) en 1994, ou parmi d’autres séries, « Buffy contre les vampires » (1997-2003), etc…
Ayant apprécié le premier film, j’ai visionné les suivants, et plus l’histoire avance, moins ça devient bien… La cote de 6/10 est une moyenne de tous les épisodes en ce qui me concerne. Les lecteurs des romans ont fort été déçus ; personnellement je n’ai pas lu les livres donc je ne peux pas comparer. Aussi, pour les non-adeptes de la langue de Shakespeare qui se sont toujours demandés ce que signifiait le titre, le mot « twilight » signifie « crépuscule », « pénombre ».

Les liens ci-dessous mènent aux différents films. Les titres des films en français sont à côté des liens Allociné, les titre en anglais à côté des liens IMDb.

Lien Allociné (Twilight – Chapitre 1 : Fascination) – 2008
Lien Allociné (Twilight – Chapitre 2 : Tentation) – 2009
Lien Allociné (Twilight – Chapitre 2 : Hésitation) – 2010
Lien Allociné (Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère partie) – 2011
Lien Allociné (Twilight – Chapitre 4 : Révélation 2ème partie) – 2012

Lien IMDb (Twilight) – 2008
Lien IMDb (The Twilight Saga : New Moon) – 2009
Lien IMDb (The Twilight Saga : Eclipse) – 2010
Lien IMDb (The Twilight Saga: Breaking Dawn – Part 1) – 2011
Lien IMDb (The Twilight Saga: Breaking Dawn – Part 2) – 2012

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Classé dans 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 6/10, Fantastique, Non classé, Romance / film d'amour