Archives de Catégorie: Science-Fiction

Genre cinématographique structuré par des hypothèses sur ce que pourrait être le futur ou ce qu’aurait pu être le présent voire le passé (planètes éloignées, mondes parallèles, uchronie, etc.), en partant des connaissances actuelles (scientifiques, technologiques, ethnologiques, etc.).

G.I. Joe : Conspiration (G.I. Joe : Retaliation)

gi2Date de sortie : 3 avril 2013

Réalisé par : Jon M. Chu

Cotation : 7/10 – Bon film.

Synopsis : Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l’équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock et ses GI doivent identifier l’ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d’élite : Joe Colton. (Source : Allociné)

Avis : Quatre ans après le premier film (GI Joe : le réveil du Cobra, réal. S. Sommers, 2009), revoici une autre histoire des célèbres personnages inspirés des figurines Hasbro.
Toujours bourré d’action et d’armes hi-tech, le film est fidèle à ce qu’on attend de lui : action, poursuites, bagarres (mais sans pour autant dégouliner d’hémoglobine), scénario « conventionnel » dans lequel les méchants s’emparent du pouvoir, puis les gentils gagnent à la fin. Si vous n’avez pas vu la première adaptation de 2009, vous n’aurez pas trop de soucis à suivre celui-ci, un petit résumé vient faire le point au début et suffit pour la compréhension. Cependant une question reste sans réponse : qu’est-il arrivé aux autres membres GI Joe du 1er film? Aussi, blockbuster U.S. oblige, la vision très américaine et légèrement éxagérée de certains aspects de l’histoire souligne vraiment qu’il s’agit d’une fiction, car si on y pense bien, des détails sont tout à fait invraisemblables…  La 3D est un petit plus pour être au coeur de l’action mais n’apporte pas vraiment grand chose. Mis à part ces petits « défauts » vite pardonnés, c’est un bon divertissement dans l’ensemble qui ravira les amateurs du genre.

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Classé dans 2013, 7/10, Action, Science-Fiction

Paprika (Papurika)

paprikaDate de sortie : 6 décembre 2006

Réalisé par : Satoshi Kon

Cotation : 8/10 – Très bon film, à voir.

Synopsis : Dans le futur, un nouveau traitement psychothérapeutique a été inventé. Grâce à une machine, le DC Mini, il est possible de rentrer dans les rêves des patients, et de les enregistrer afin de sonder les tréfonds de la pensée et de l’inconscient.

Alors que le processus est toujours dans sa phase de test, l’un des prototypes du DC Mini est volé, créant un vent de panique au sein des scientifiques ayant développé cette petite révolution. Dans de mauvaises mains, une telle invention pourrait effectivement avoir des résultats dévastateurs.
Le Dr. Atsuko Chiba, collègue du Dr. Tokita (inventeur du DC Mini),décide, sous l’apparence de sa délurée alter-ego Paprika, de s’aventurer dans le monde des rêves pour découvrir qui s’est emparé du DC Mini et pour quelle raison. Elle découvre que l’assistant du Dr. Tokita, Himuro, a disparu…

Avis : Un film typique de l’animation japonaise, dans le pur style manga. Une plongée dans un monde totalement kitsh et déjanté, au coeur des rêves, et aussi des rêves dans les rêves…Un petit chef d’oeuvre à réserver à un public averti.

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Classé dans 2006, 8/10, Anime japonais / Japanime, Aventure, Science-Fiction

La saga Transformers

transformersDates de sortie : 25 juillet 2007, 24 juin 2009, 29 juin 2011

Réalisé par : Michael Bay

Cotation : 7/10 – Bonne saga.

Synopsis : Un ancien conflit entre deux clans extraterrestres, les héroïques Autobots et les méchants Decepticon, arrive sur Terre, avec comme enjeu un grand pouvoir détenu par un adolescent.

Avis : Il  s’agit de la première transposition à l’écran  des célèbres figurines héros des dessins animés des années ’80, si on exclut le long-métrage d’animation de 1986  (réal. Nelson Shin).  Dans l’ensemble c’est plutôt réussi, à grand renforts d’effets spéciaux et d’action intense. La trilogie semble être terminée, pourtant IMDb indique un projet de suite pour 2014… et Allociné annonce aussi un projet de Transformers 5 en 2015 !
Mais Shia LaBeouf (le héros) n’a pas signé davantage, et le réalisateur Michael Bay a déclaré  (semble-t-il) souhaiter se consacrer à d’autres projets…

Ci-après les critiques que j’avais écrites à l’époque pour les 2ème et 3ème volets, très légèrement moins bons que le premier.

T2 : Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a sauvé l’univers d’une bataille décisive entre les deux clans rivaux de robots extraterrestres. Malgré ses exploits, Sam reste un adolescent préoccupé par les soucis des jeunes de son âge : alors qu’il s’apprête à entrer à l’université, il doit se séparer de sa petite amie Mikaela et de ses parents pour la première fois de sa vie. Il lui faut aussi tenter d’expliquer son départ à son nouvel ami, le robot Bumblebee. Sam aspire à vivre une vie normale d’étudiant, mais il est soudain assailli par des visions semblables à des éclairs. Craignant d’être frappé par le même type de démence que son grand-père, Sam ne parle à personne de ses hallucinations – jusqu’à ce qu’il ne puisse plus faire comme si les messages et les symboles qu’elles véhiculent n’existaient pas.

La guerre entre les Autobots et les Decepticons, tout en étant classée secret défense, a entraîné plusieurs changements. Le Secteur 7 a ainsi été dissout et une nouvelle agence, NEST, a été mise en place. Celle-ci a pour mission de collaborer avec les Autobots pour éviter un nouvel affrontement avec les Decepticons.
Cherchant à prendre le contrôle des organisations militaires pour accroître son pouvoir, le conseilleur militaire Galloway est convaincu que la menace d’une guerre Autobots-Decepticons est écartée, et il dissout NEST.

Bien qu’il en ait décidé autrement, Sam se retrouve une fois encore au coeur d’un combat entre les Autobots et les Decepticons où se joue le sort de l’univers. Sans le savoir, il est le seul qui puisse faire triompher le bien contre les forces du mal.

Ce deuxième épisode est toujours à la hauteur du premier, toujours avec Michael Bay aux commandes, avec lui on sait que l’on peut s’attendre à du grand spectacle  et c’est très réussi. Bien qu’il s’agisse d’un film de science-fiction, il y a pas mal de moments comiques (notamment avec John Turturro, que l’on retrouve avec plaisir dans le rôle de l’agent Simmons). Bon scénario, bons acteurs, bon film avec plein d’effets spéciaux.


T3 : En 1969 lors de la mission Apollo 11, les astronautes Neil Armstrong et Buzz Aldrin ont dû accomplir une mission secrète pour la NASA : explorer le vaisseau qui s’est crashé sur la face cachée de la Lune. Ils n’ont rien découvert à part une ruine, et un visage métallique géant, inanimé ; à part ça, aucun signe de vie.

De nos jours, les Autobots, alliés des humains, apprennent l’existence de ce vaisseau abandonné sur la Lune, et s’empressent d’aller chercher ce qu’il contient avant les Decepticons. Ce vaisseau s’appelle l’Ark, il était un dernier espoir issu de la guerre qui a fait rage sur Cybertron, la planète originale des Transformers. L’Ark abrite Sentinel Prime, un Transformer inanimé, ainsi que des « piliers », une technologie créée par Sentinel, que lui seul peut faire fonctionner, et qui permet de créer un téléporteur. Optimus Prime va réanimer Sentinel grâce à la matrice de commandement, mais il ignore que c’est exactement ce que veulent les Decepticons…

Michael Bay toujours aux commandes nous offre du très spectaculaire, avec plein d’effets spéciaux qui en mettent plein la vue. Ce troisième volet est fidèle aux promesses montrées dans la bande annonce. Du grand spectacle, beaucoup d’action, la destruction de la ville de Chicago, une histoire de science-fiction qui plaira aux amateurs. Le seul bémol est parfois une impression d’empressement, on ne suit pas toujours tout ce qui se passe, surtout parmi les batailles, et le désordre semé avec toute la casse me dérange un peu… mais ça c’est juste une impression personnelle ! La touche sexy avec la présence de Carly, alias Rosie Huntington-Whiteley, remplace Megan Fox suite à la mauvaise relation de cette dernière avec le réalisateur. Rosie est la seule femme ou presque qui apparaît dans tout le film ! Il y aussi la mère de Sam, Judy Witwicky (Julie White), et Charlotte Mearing (Frances McDormand)…et c’est tout pour la gent féminine, à part les figurantes ! Dans ce tourbillon de mâles, apparaît le Dr Dereck Shepherd (Dr Mamour) de « Grey’s Anatomy », Patrick Dempsey, qui incarne le méchant Dylan. C’est aussi avec plaisir que l’on retrouve John Malkovitch, dans un petit rôle mais assez rigolo. Et last but not least, le sympathique et comique John Turturro dans la peau de l’ex-agent Simmons. En résumé c’est une excellente suite (et fin?) de la trilogie, qui ravira les fans du genre, dont je fais partie.

Lien Allociné : Transformers – 2007
Lien Allociné : Transformers : la Revanche – 2009
Lien Allociné : Transformers : La Face cachée de la Lune – 2011

Lien IMDb :  Transformers – 2007
Lien IMDb :  Transformers – Revenge of the Fallen – 2009
Lien IMDb :  Transformers – Dark of the Moon – 2011

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Classé dans 2007, 2009, 2011, 7/10, Action, Science-Fiction

(The) Hunger Games

hgDate de sortie : 21 mars 2012

Réalisé par : Gary Ross

Cotation : 9/10 – Vraiment très bon film, à recommander.

Synopsis : Nous sommes dans le futur, à Panem, dans les ruines de ce qui était autrefois l’Amérique du Nord. Panem est divisé en douze districts, dirigés par le Capitole. Le gouvernement du Capitole oblige chaque district à envoyer périodiquement un garçon et une fille âgés de douze à dix-huit ans, pour participer au grand évènement télévisuel : les Jeux de la Faim (« Hunger Games »). Ces « Hunger Games » sont un moyen de commémorer l’histoire des districts (autrefois au nombre de treize), et la bataille qui a mené à la destruction de l’un d’entre eux. Les enfants sont un « tribut » que les districts doivent « payer » au Capitole pour le remercier de sa bienveillance et sa protection, malgré les révoltes passées. Dans le 12ème district, le plus pauvre, la jeune Katniss Everdeen, 16 ans, se porte volontaire aux 74èmes Jeux pour sauver sa petite sœur de 12 ans qui avait été tirée au sort, alors qu’elle n’avait que peu de chances d’être désignée. Katniss part donc avec Peeta, le garçon qui a été désigné d’office avec elle pour ce district. Un seul des 24 concurrents survivra. Katniss a beaucoup d’habileté et de talents, elle peut gagner ces Jeux. Quels choix va-t-elle faire ?

Avis : Le film qui fait un carton au box-office américain pourrait bien aussi être un grand succès chez nous. L’histoire, première partie d’une trilogie, est adaptée d’un roman éponyme de 2008 écrit par Suzanne Collins. Cette histoire a reçu des récompenses et a énormément de succès auprès des ados, au point que certaines sources parlent même du « nouveau phénomène » après « Harry Potter » et « Twilight ».

Mis à part que l’on s’attend à ce qui va se passer dans les grandes lignes (chutttt ! je ne dirai rien !), je trouve que les acteurs sont très bons, les décors et effets spéciaux sont plutôt réussis et la morale, ou la réflexion du moins, qu’on peut en tirer est assez intéressante ; en effet, une télé-réalité du futur, dans laquelle les participants enrôlés de force doivent s’entre-tuer pour gagner… Va-t-on un jour en arriver à cette dérive ? J’espère que non.

Accrochez-vous, le suspense est prenant à certains moments, et les 2h20 passent plus vite qu’on ne le pourrait croire. Heureusement l’esprit du film est plutôt optimiste !… A noter que la fin laisse présager un deuxième volet, Wikipédia dit même qu’il y aurait 4 films en préparation pour adapter les trois livres… Le deuxième volet est prévu pour novembre 2013. A suivre de près !

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Classé dans 2012, 9/10, Aventure, Science-Fiction

District 9

d9Date de sortie : 30 septembre 2009

Réalisé par : Neil Blomkamp

Cotation : 9/10 – Vraiment très bon film, à recommander.

Synopsis : Dans les années ’80, des extraterrestres entrèrent en contact avec la Terre…Ces visiteurs d’au-delà des étoiles étaient des réfugiés et furent installés dans le District 9, en Afrique du Sud, pendant que les nations du monde se querellaient pour savoir quoi faire de ces « crevettes », comme les appellent certains humains anti-aliens…Depuis, la gestion de la situation a été transférée au MNU (Multi-National United), une société privée qui n’a pas grand-chose à faire du sort de ces créatures, mais qui fera d’énormes bénéfices si elle arrive à faire fonctionner leur extraordinaire armement. Jusqu’à présent, toutes les tentatives ont échoué : pour que les armes marchent, il faut de l’ADN extraterrestre. La tension entre extraterrestres et humains atteint son maximum lorsque le MNU commence à évacuer les non-humains du District 9 vers un nouveau camp, en envoyant des agents de terrain s’occuper de leur transfert. L’un de ces agents, Wikus van der Merwe, contracte un virus extraterrestre qui se met à modifier son ADN. Wikus est à présent l’homme le plus recherché de la planète, celui qui vaut plus qu’une fortune : il est la clé qui permettra de percer le secret de la technologie alien. Repoussé, isolé, sans aide ni amis, il ne lui reste qu’un seul endroit où se cacher : le District 9…

Avis : Servi par des acteurs pas très connus, ce scénario de film de science-fiction aux allures de documentaire est facilement transférable à nos populations humaines (entre peuples de la Terre). Les ghettos sont malheureusement une réalité humaine, et District 9 permet par la science-fiction de prendre conscience de la bêtise humaine devant certaines situations, notamment le racisme et la xénophobie. Une autre thématique est celle des multinationales, de la privatiation de certaines activités autrefois exercées par les Etats. Ici, celle de l’armement… Au-delà des thématiques, le film contient des bons moments de suspense et d’action. Les effets visuels sont surprenants de réalisme.

A noter : Le scénario est adapté du court-métrage « Alive in Joburg« . Oscars du meilleur film, du meilleur scénario adapté, du meilleur montage, des meilleurs effets visuels.

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Classé dans 2009, 9/10, Action, Science-Fiction, Thriller / Suspense

The Avengers

Sans titre 1Date de sortie : 25 avril 2012

Réalisé par : Joss Whedon

Cotation : 9/10 – Vraiment très bon film, à recommander.

Synopsis : En repêchant Captain America hors des glaces, l’équipe du SHIELD (agence gouvernementale d’espionnage) a ramassé un cube étrange, le Tesseract, qui pourrait fournir à la Terre une source d’énergie inépuisable. Cependant durant l’étude de ce cube par les scientifiques du SHIELD, dont les travaux sont dirigés par le Dr Erik Selvig, un étrange phénomène se produit, le cube émet des rayons et semble s’être activé. Le directeur du SHIELD, Nick Fury, vient en personne assister aux expériences. Le cube émet alors un rayon ouvrant un portail qui leur amène Loki (le demi-frère de Thor) déchu et exilé du trône d’Asgard. Loki cherche à prendre le pouvoir sur Terre et se proclamer dieu. Il est armé d’un sceptre mystique qui lui donne un pouvoir presque divin. Le portail créé par le cube commence à s’effondrer et les scientifiques du SHIELD évacuent la base, alors que Fury s’empare du cube, mais Loki le lui reprend et s’enfuit, en « hypnotisant » au passage quelques scientifiques qui travailleront pour lui. Fury déclare la guerre à Loki, et décide de regrouper les Avengers pour éradiquer cette menace.

Avis : Le titre du film, non traduit sur l’affiche mais bien traduit dans le film (par « Les Vengeurs »), est encore un mystère des compagnies de cinéma duquel je ne m’étonne plus. En VO le film s’appelle « The Avengers » et la VF a simplement retiré l’article « The ». Quel énorme travail de traduction !!! Enfin, passons.

Sorte de « suite » des autres films Marvel (Hulk, Thor, IronMan, Captain America) précédemment adaptés à l’écran, cette histoire peut sans problème être visionnée sans avoir vu les autres, bien que certains détails pourraient vous échapper. Les amateurs de comics américains sont toujours bien servis dans les adaptations Marvel Comics (et aussi DC Comics).
On y retrouve donc les super héros habituels, dotés ou non de super pouvoirs selon leur histoire personnelle  ici ils devront unir leurs forces pour venir à bout d’un ennemi extérieur. Le scénario paraît assez classique il est vrai, pourtant on ne se lasse pas une minute (pendant les 2h15!) car la psychologie des personnages est bien travaillée, les décors et effets spéciaux réussis, avec notamment des destructions en veux-tu en voilà…on dirait presque que Michael Bay est passé par là ! Le jeu des acteurs est tout à fait correct, avec par ci par là des pointes d’humour qui complètent bien le divertissement.
En résumé c’est pour moi un excellent film dans son genre, que tout geek amateur de comics se doit d’aller voir.

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Classé dans 2012, 9/10, Action, Science-Fiction

GI Joe Le réveil du Cobra (GI Joe The Rise of the Cobra)

Sans titre 1Date de sortie : 5 août 2009

Réalisé par : Stephen Sommers

Cotation : 9/10 – Vraiment très bon film, à recommander.

Synopsis : Alors que des soldats d’élite transportent une arme révolutionnaire mise au point par la société M.A.R.S (Military Armaments Research Syndicate), leur convoi est attaqué par une force militaire inconnue menée par La Baronne et Storm Shadow. Grâce à l’intervention d’une unité de G.I. Joe, les soldats terroristes doivent s’enfuir sans pouvoir mettre la main sur l’arme. Du convoi de soldats, il ne reste que Ripcord et Duke.

Ripcord et Duke sont amenés, avec l’arme, à la base des G.I. Joe dirigée par le général Hawk. Ils y subissent un entraînement poussé qui en fera des super soldats, des G.I. Joe. Plus tard, la base est attaquée par la même force militaire inconnue, laquelle s’emparera cette fois-ci de l’arme révolutionnaire, des ogives chargées de nanorobots destructeurs. Cependant, les G.I. Joe déterminent que les ogives seront activées à Paris. Ils s’y rendent pour mettre fin à la menace terroriste qui plane sur la ville. Ils y parviendront, mais Duke sera fait prisonnier. Duke est amené à la base sous-marine secrète de la société M.A.R.S, dirigée par McCullen. Grâce à Duke, les G.I. Joe découvriront où elle est située et lanceront toutes leurs forces pour contrer la menace terroriste. Ils y parviendront, mais un groupe terroriste naîtra des cendres : C.O.B.R.A.

Avis : N’ayant jamais joué avec les figurines étant jeune, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en allant voir ce film. Bonne surprise dès le départ, beaucoup d’action et un brin de science-fiction, ce qui n’était pas pour me déplaire. Le jeu des acteurs est pas trop mauvais, digne des grosses productions hollywoodiennes. L’histoire est un peu compliquée à suivre, je trouve, les scènes se succédant assez vite. A part cela c’est un bon divertissement dans l’ensemble.

A noter : Le record de voitures détruites a été battu dans ce film, avec un total de 112 épaves…

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Classé dans 2009, 9/10, Action, Science-Fiction

La Planète des Singes : les origines (Rise of the Planet of the Apes)

psDate de sortie : 10 août 2011

Réalisé par : Rupert Wyatt

Cotation : 6/10 – Film correct.

Synopsis : Dans un laboratoire de San Francisco, de nos jours, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. Une femelle chimpanzé surnommée « Beaux Yeux » (« Bright Eyes ») montre particulièrement des résultats encourageants. Cependant, lors du jour de la démonstration au comité qui devait donner son autorisation pour les tests sur les humains, Beaux Yeux se montre agressive, s’échappe, et est malheureusement tuée. Plus tard, le dresseur du labo découvre un bébé chimpanzé dans la cage de Beaux Yeux… Le scientifique Will Rodman le prend alors chez lui pour le sauver, car sur ordre du patron, tous les singes devaient être tués et le projet abandonné. Will vit avec son père, Charles, atteint de la maladie d’Alzheimer. Charles est enchanté de la venue du bébé singe et le prénomme César. César grandit avec Charles et Will, devenant de plus en plus intelligent.

Avis : Ce « prequel » comme je l’appellerais (bien que le réalisateur s’en défende) explique bien comment les singes sont devenus intelligents, le scénario est cohérent, bien réalisé, bien expliqué. L’animation des singes est superbe, pour ma part j’aurais cru qu’il y avait des vrais parmi ceux en images de synthèse. Bien que l’histoire soit intéressante, je suis un peu resté sur ma faim en voyant le nom du réalisateur annonçant le générique de fin. Un sursaut de film est alors apparu, je me suis dit « chouette, ça annonce peut-être une suite »… et après quelques minutes, le générique a continué… N’ayant pas vu les films de la saga datant des années 70, ni la série TV, je n’ai pas de points de comparaisons. Par contre j’ai vu le film de 2001 de Tim Burton (avec Mark Wahlberg). Ces deux versions sont totalement traitées différemment. Evidemment le film de 2011 raconte les origines à partir de la Terre, et celui de 2001 raconte la venue d’un humain sur la planète des singes … précisément dans le film de 2011 on n’a pas l’explication de la venue des singes sur une autre planète…c’est un peu cela qui m’a manqué, je pense, un élément pour lier les deux films du point de vue chronologique. Pour les cinéphiles / sérievores avertis, il y a une belle brochette de seconds rôles à reconnaître…tous les acteurs sont bons, en particulier Andy Serkis dans la peau de César, ce qui n’est pas sans rappeler Gollum par moments…Autre chose, le message que le film fait passer si on y réfléchit bien : jusqu’où l’homme va-t-il aller, en jouant à l’apprenti sorcier ? En bref, un bon film de science-fiction / action, sans trop de violence comme pourrait pourtant le laisser présager la bande annonce, mais qui laisse une impression de trop peu sur la fin.

A noter :
Le nom du laboratoire est « Gen-Sys » (pour Genetic-Systems, à mon avis), prononcé en anglais cela donne à l’oreille le même mot que « genèse » (« genesis »). Je ne sais pas si ça a été fait exprès…
Pour les connaisseurs : dans le film vous verrez de nombreux clins d’oeils aux autres films de la série. Outre les premiers rôles, on retrouve au casting : Tom Felton (Draco Malefoy dans Harry Potter), David Hewlett (Stargate Atlantis, Cube,…entre autres !), Tyler Labine (Classe Croisière, Antitrust, …et bien d’autres films et séries !), etc. …

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Classé dans 2011, 6/10, Action, Drame, Science-Fiction

Dark City

dcDate de sortie : 20 mai 1998 (en France, le film n’est jamais sorti en Belgique)

Réalisé par : Alex Proyas

Cotation : 9/10 – Vraiment très bon film, à recommander.

Synopsis : John Murdoch se réveille dans un bain d’une chambre d’hôtel, n’ayant aucun souvenir. Il s’habille et découvre un cadavre non loin de lui…il s’enfuit et s’aperçoit qu’il est poursuivi. Il entre en contact avec le Dr Schreber, qui dit pouvoir l’aider. Le docteur lui apprend que les « Etrangers » ont des pouvoirs et que tout ceci est leur création, leurs expériences…

Avis : Splendide chef d’oeuvre après « The Crow » (1994), voici un autre film d’Alex Proyas. Je connaissais déjà « Prédictions » (2009) et « I, Robot » (2004), et j’avoue que j’apprécie beaucoup sa vision et ses réalisations. Dans une ville sombre, des personnages vivent une sombre histoire où le psychologique et le philosophique ont leur place, comme souvent dans les oeuvres de science-fiction (SF). Qui sommes-nous ? Qu’est-ce qui fait de nous des humains ? sont autant de questions récurrentes dans la SF. Le film comprend beaucoup de références externes aussi (à mon sens). Bien que Dark City ait été réalisé bien avant, j’ai souvent fait le parallélisme avec « The Matrix » (1999). D’ailleurs certains décors de Dark City ont été réutilisés dans Matrix. Je n’ai pu m’empêcher de remarquer des clins d’oeil à d’autres films, citons par exemple « Freddy » (1984), « il est minuit docteur Schreber » (allusion au film de 1952 – « Dr Schweitzer »), « Cube » (1997)… A côté de ces anecdotes, le réalisateur a réuni plusieurs thématiques de la SF : des aliens, le temps, des machines, les expériences sur les humains, des pouvoirs surnaturels comme la télékinésie, etc. Les acteurs s’en sortent pas trop mal, mais je trouve que certaines scènes font un peu trop « cliché »… Un bon moment à conseiller pour les amateurs de vraie SF, déconseillé cependant aux moins de 16 ans.

Si comme moi vous aimez l’univers de Dark City, une ville imaginaire perdue dans le temps quelque part entre les années ’40 et les années ’70, je vous invite à découvrir les oeuvres de mon ami Stefan, sur le site DeviantArt ou via son livre Diesel City. Il a clairement puisé son inspiration dans ce film, et aussi dans le dieselpunk, steampunk et autres références rétro-futuristes dérivées du cyberpunk.

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Classé dans 9/10, Avant 2000, Policier, Science-Fiction, Thriller / Suspense

Men in Black III

mib3Date de sortie : 23 mai 2012

Réalisé par : Barry Sonnenfeld

Cotation : 8/10 – Très bon film, à voir.

Synopsis :  Dans Men in Black 3, l’agent J (Will Smith) et l’agent K (Tommy Lee-Jones) sont de retour… dans le temps. L’agent J a été témoin de choses inexplicables durant ses 15 ans de carrière, mais rien – pas même les extraterrestres—ne le trouble autant que les sarcasmes de K, son collègue. Toutefois, quand la vie de K et le sort de la planète sont compromis, J devra voyager dans le passé pour rectifier la situation. Il découvrira alors que l’univers contient des secrets dont son acolyte ne lui a jamais parlé, des secrets qu’il découvrira en faisant équipe avec le jeune agent K (Josh Brolin) afin de sauver son équipier, son employeur et le futur de l’humanité.

Avis : Après un premier opus plutôt réussi et un deuxième volet plutôt raté (les deuxième d’une série sont souvent les moins bons), voici dix ans plus tard un troisième épisode qui fait suite aux deux autres, et la mayonnaise reprend, le succès est au rendez-vous !

Cette adaptation de comics ayant été tourné en vraie technologie 3D, j’avoue que le relief n’apporte pas grand chose de plus, si ce n’est de l’argent dans les caisses des exploitants de cinéma. Pour ma part je n’ai pas payé plus cher, rassurez-vous, grâce à mon abonnement et aux lunettes 3D achetées une fois et valables pour tous les films. Mais revenons-en au film. Si vous n’avez pas vu les deux premiers, vous risquez de passer à côté de plusieurs choses, mais c’est tout de même possible de le regarder sans connaître les antécédents.

La recette de l’histoire ? De l’humour, de la science-fiction, de l’action, des maquillages et effets spéciaux « rétros » style années 60 mélangés aux effets spéciaux numériques actuels, un bon scénario qui ne manque pas d’originalité, des rebondissements, une belle brochette d’acteurs et le tour est joué. Pas étonnant que cela fonctionne, avec une équipe composée entre autres de Steven Spielberg à la production, Barry Sonnenfeld à la réalisation et Etan Cohen à l’écriture.

Franchement j’ai bien apprécié aussi bien l’histoire que l’humour (omniprésent) et les scènes d’action. Le film est ryhtmé, on ne s’ennuie pas, on suit l’histoire avec beaucoup d’intérêt. J’aime voir comment est exploitée la thématique du voyage dans le temps dans les films, et celle-ci est tout à fait originale. On rit beaucoup sur certains passages, avec pas mal de vannes parfois foireuses… ! Attention ce n’est pas non plus hilarant au point de décrocher la mâchoire, et ce n’est pas un film pour la Palme d’Or…  Pour un bon moment de divertissement, foncez voir Men In Black 3.

Une dernière chose : cela ne sert à rien de rester après le générique, sauf si vous aimez lire les noms des gens pendant 5 bonnes minutes et/ou que vous voulez apprécier la BO jusqu’au bout. Je suis resté jusqu’à l’écran blanc, je m’attendais à une surprise mais il n’y a rien eu, à part le beau logo Sony !

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Classé dans 2012, 8/10, Action, Comédie, Science-Fiction